Un défilé à voir au moins une fois

Publié le par Jérôme Voyageur

Paris, 14 Juillet 2002

Toujours confiné comme vous tous, je continue à fouiller dans mes archives à défaut de pouvoir réaliser le moindre cliché digne d'intérêt pour un article. Aujourd'hui, je suis tombé sur une série de photos réaliser lors de notre fête nationale à Paris sur les Champs-Élysées. Il m'avait fallu tout de même quatre avant de me décider. JE reconnais que c'est tout de même plus confortable de rester dans son fauteuil devant l'écran, voir d'attendre la fin du défilé aérien pour voir quelques appareils venir passer devant sa baie vitrée. Mais comme tout spectacle vivant, participer à l'évènement procure des sensations bien différentes, à défaut de tout voir parfaitement. Alors bien sûr, il faut se lever tôt, très tôt, marcher car les stations de métros les plus proches sont fermées par sécurité et ensuite piétiner patiemment en attendant que le défilé commence.

Malgré tous ces inconvénients apparents, qu'on soit militaristes ou pas, qu'on soit attirée par la chose militaire ou pas, il faut tout de même reconnaître que le spectacle mérite d'être vécu au moins une vois dans sa vie. Vers 10 heures, c'est le bruyant cliquetis des dizaines et dizaines de sabots de la cavalerie de la Garde Républicaine qui annonce le début des festivités avec l'arrivée du chef de l'état. Quelques minutes plus tard, les premiers vrombissement font immédiatement lever les têtes: c'est le défilé aérien qui débute, les gros porteurs succédant aux fins et élégants avions de chasse.

La Garde RépublicaineLa Garde RépublicaineLa Garde Républicaine

La Garde Républicaine

Défilé aérienDéfilé aérienDéfilé aérien
Défilé aérienDéfilé aérien
Défilé aérienDéfilé aérien

Défilé aérien

La suite est sensiblement moins sonore même si on est assurément pas sur une avenue silencieuse: c'est le moment du défilé des troupes à pied, d'abord les écoles, puis ensuite les régiments sélectionnés. Le volume remonte sensiblement lorsque le défilé motorisé s'approche, surtout les années où les chars Leclerc sont de la partie. Au même moment, c'est un bruit de claquement qui fait à nouveau lever les têtes: c'est le tour des hélicoptères d'occuper le ciel parisien.

Défilé dit des écolesDéfilé dit des écolesDéfilé dit des écoles
Défilé dit des écolesDéfilé dit des écolesDéfilé dit des écoles

Défilé dit des écoles

Défilé des troupes à piedDéfilé des troupes à piedDéfilé des troupes à pied
Défilé des troupes à piedDéfilé des troupes à piedDéfilé des troupes à pied

Défilé des troupes à pied

Défilé motoriséDéfilé motoriséDéfilé motorisé
Défilé motoriséDéfilé motoriséDéfilé motorisé
Défilé motoriséDéfilé motoriséDéfilé motorisé

Défilé motorisé

Une partie du défilé de l'aviation légère

Une partie du défilé de l'aviation légère

En cette année 2002, tragique actualité oblige, les Etats-Unis avaient été mis  l'honneur, d'abord avec un détachement à pied en tête de cortège, mais surtout avec un camion de pompiers de New-York, du genre de ceux que l’immense majorité n'avait vu que dans les films, et qui reçut un très chaleureux accueil.

Les invités du 14 Juillet 2002Les invités du 14 Juillet 2002Les invités du 14 Juillet 2002

Les invités du 14 Juillet 2002

Publié dans Europe, France, Photos

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